Les types de versements
Afin de préparer sa retraite, le contrat d'assurance vie qui peut être alimenté par trois types de versements. Le souscripteur a ainsi la possibilité de se constituer un capital selon ses capacités d'épargne.
Contrat à prime unique
Le souscripteur effectue un seul versement au moment de la souscription du contrat. Le contrat est clos une fois ce premier versement effectué.
- Je verse X euros en une seule fois
- Mon épargne est fructifiée jusqu’à ma retraite
A savoir
Ce type de versement est peu fréquent
A savoir
Pour tout nouveau placement, il faut ouvrir un nouveau contrat
Contrat à primes périodiques
Le souscripteur s’engage à verser régulièrement, jusqu’à son départ à la retraite, un montant fixe (appelé prime) qui est déterminé au moment de la souscription du contrat.
- Exemple je verse 40 euros chaque mois
- Pendant 15 ans
A savoir
Des sanctions peuvent être appliquées pour non respect de cet engagement
Pour ce qui est de la périodicité : elle peut être mensuelle, trimestrielle, semestrielle ou annuelle et pour une certaine durée (exemple 10 ans ou 15 ans).
Contrat à versements libres
Ce type de contrat présente les modalités les plus souples car le souscripteur est libre d’effectuer des versements lorsque sa situation financière le lui permet.
- J’effectue mes placements à mon rythme.
Astuce
Il est préférable d’opter pour ce type de versement, vous serez ainsi libre d’épargner à votre rythme sans pénalités en cas de non versement
Toutefois, souvent ce type de contrat prévoit un montant minimum pour chaque versement afin d’éviter de trop nombreux versements de petites sommes qui rendraient la gestion du contrat assez conséquente. Le contrat peut aussi prévoir l’obligation pour le souscripteur d’effectuer au moins un versement par an, par exemple.
A savoir
La valeur de rachat est la valeur de remboursement du capital en cas de dénouement anticipé du contrat
En cas de non-versement de la prime
Le non-paiement de la prime peut entraîner des conséquences différentes sur le contrat selon qu’il existe ou non une valeur de rachat suffisante.